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TRAITEMENTS

FAQ

Implantologie :

Définition implantologie dentaire

L’Implantologie Dentaire est une technique par laquelle on met en place une racine artificielle (implant)dans l’os de la mâchoire. Cet implant sera par la suite coiffé par une prothèse remplaçant la dent absente

Le recours aux implants dentaires suite à la perte d’une ou plusieurs dents permet d’assurer le rétablissement de la fonction et de l’esthétique de façon fiable et prévisible. Cette solution implantaire permet, de surcroît, de maintenir l’intégrité des dents voisines.

 

 

 

Parodontologie :

Définition

On regroupe sous le terme de maladies parodontales les maladies touchant les tissus de soutien des dents. L’ensemble de ces tissus est appelé parodonte et comporte la gencive, l’os alvéolaire, le ligament alvéolo-dentaire et le cément. Lorsque la maladie parodontale se limite à la gencive, on parlera de gingivite. Lorsqu’elle touche l’ensemble du parodonte, on parlera de parodontite. La perte osseuse qui en résulte est appelée alvéolyse. Il est important de traiter rapidement la gingivite avant qu’elle ne se transforme en parodontite, car l’os qui soutient les dents se détériore et fragilise les dents.

Vous croyez avoir une maladie des gencives ? Consultez-nous rapidement. Notre équipe chevronnée pourra établir un diagnostic et vous donner des conseils qui s’appliquent à votre situation.

 Nous réalisons au sein de notre cabinet des traitements qui permettent, à l’aide de techniques non chirurgicales, de résoudre vos problèmes de gencives.

La maladie parodontale peut passer inaperçue au début et évoluer vers une affection plus grave qui peut aller jusqu’à une mobilité importante entraînant la perte de la dent.

Si vous répondez affirmativement à, au moins, l’une de ces questions, vous souffrez certainement de la maladie parodontale :

  • Vos gencives saignent elles lorsque vous brossez vos dents ?
  • Sentez-vous vos dents bouger ?
  • Notez-vous un mauvais goût dans la bouche tout au long de la journée ?
  • Avez-vous une mauvaise haleine ?
Le prf :

Le concept du PRF est basé sur la centrifugation du sang total sans anticoagulants.(J. Choukroun et al. 2001). A la fin de la centrifugation, on obtient un caillot de fibrine contenant les plaquettes et une majorité des cellules blanches.

Ce caillot de fibrine appelé Platelet Riche Fibrin ou PRF ou Fibrine riche en plaquettes  va libérer de manière progressive et constante des facteurs de croissance ou cytokines dans le milieu (VEGF, PDGF, TGF Beta, Thrombospondine).

L’objectif attendu de ces facteurs de croissance est d’accélérer la cicatrisation muqueuse et osseuse.

De très nombreuses publications internationales (143)  sont disponibles et démontrent l’efficacité du PRF dans de nombreuses indications : en chirurgie orale (implantologie, greffes osseuses, chirurgie parodontale, extractions, etc.), en chirurgie orthopédique, esthétique et dermatologique.

Le PRF est considéré comme un biomatériau de cicatrisation synthétisant en une seule membrane l’ensemble des paramètres nécessaires à une cicatrisation optimale : une matrice de fibrine polymérisée en architecture tétramoléculaire, l’incorporation intrinsèque des cytokines plaquettaires et leucocytaires dans la maille de fibrine, des plaquettes, des leucocytes et également quelques cellules souches circulantes. Cependant, bien que les cytokines piégées dans le PRF et relarguées progressivement permettent l’accélération de tous les phénomènes cellulaires, la matrice de fibrine, cohérente et structurée, demeure nécessairement l’élément clé de toutes les cicatrisations potentialisées par le PRF. Ce biomatériau totalement naturel semble effectivement accélérer les phénomènes de cicatrisation physiologiques.

INDICATIONS :

    • Comblements sinusiens, Implantologie, Greffes osseuses, Parodontologue
    • Cicatrisation, Extraction
Le meopa :

Définition :

Le mélange équimolaire oxygène-protoxyde d’azote 50 %/50 % (souvent abrégé en MEOPA) est un mélange gazeux, à concentrations fixes, utilisé en analgésie. La substance active de ce médicament est le protoxyde d’azote, gaz incolore, non irritant, d’odeur faible. Peu soluble dans le sang, il procure un effet rapide après trois minutes d’inhalation, cet effet est rapidement réversible en 5 minutes après l’arrêt. La concentration en protoxyde d’azote entrainant un sommeil anesthésique (MAC) est de 104 %, impossible à atteindre en pratique courante (ce chiffre a été évalué en conditions d’hyperbarie). Le protoxyde d’azote, découvert en 1772 par le chimiste et pasteur anglais Joseph Priestley, a vu ses effets relaxants et analgésiant démontrés de façon médicale encadrée aux États-Unis en 1844 par le dentiste Horace Wells.

Mode d’action :

Le MEOPA possède une triple action :

  • anxiolytique (diminution de l’anxiété) ;
  • analgésiante ;
  • amnésiante (de façon modérée et plus particulièrement chez l’enfant).

Il n’entraîne pas de sommeil ou sédation profonde, mais un état de conscience modifiée (les sons, bruits et lumières peuvent être perturbés), avec le maintien du contact verbal que l’on appelle « sédation consciente ». Il n’est pas considéré comme antalgique dans la classification et paliers de l’OMS, et il peut être utilisé en fonction des douleurs ressenties par le patient en parallèle avec des antalgiques de différents paliers lors de gestes douloureux provoqués (ponctions, sutures, etc.).

Indication :

En raison de sa faible puissance, le MEOPA ne doit être utilisé que pour des gestes peu douloureux (EVA de 4 à 6), en association si besoin avec une anesthésie locale, patch d’EMLA ou sous-cutané de Xylocaïne.

La présentation en mélange équimoléculaire avec 50 % de dioxygène, O2, supprime pratiquement le risque d’hypoxie et améliore la sécurité d’administration au prix d’une action analgésiante comparable à une injection sous-cutanée de 10 mg de morphine. En France, l’autorisation de mise sur le marché (AMM) de novembre 2001 établit que l’administration du MEOPA ne rentre pas dans le cadre d’une anesthésie générale réalisée au bloc opératoire par un anesthésiste. L’AMM du protoxyde d’azote seul, le décrit comme un adjuvant de l’AG et utilisé avec des concentrations ente 30 et 70 % sur un respirateur en anesthésie. Le MEOPA utilisé en dehors du bloc opératoire ne possède pas à lui seul la puissance suffisante pour atteindre une profondeur chirurgicale de la sédation. Il n’est pas indispensable que ce produit soit administré par un médecin anesthésiste, mais médecins, dentistes et professions paramédicales après formation obligatoire sont habilités à le mettre en œuvre. Le jeûne et la surveillance monitorisée ne sont pas obligatoires, la surveillance simple valide la sédation consciente et donc la réponse aux ordres simples.

Il est fréquemment à l’hôpital, utilisé dans les services de pédiatrie et d’urgences en raison de sa maniabilité et du caractère atraumatique de l’administration (on ne fait pas de piqûre, on respire ce médicament au travers d’un masque et il faut bien expliquer ce fait au patient pour un succès plus important de ce traitement). Sa maniabilité permet également une utilisation extra-hospitalière dans les véhicules par les médecins et infirmiers « mobiles » des SMUR et SDIS. Il peut également être utilisé en obstétrique en cas d’impossibilité (pas d’anesthésiste présent), de refus ou d’inefficacité de l’anesthésie péridurale. Depuis l’AMM de novembre 2009 avec la sortie de la réserve hospitalière, le MEOPA est également disponible en ville pour les dentistes, les médecins généralistes (comme les sauveteurs en montagne) et spécialistes (dermatologues…). Il potentialise les médicaments antalgiques et anxiolytiques, le risque de dépression respiratoire étant alors potentiel en cas d’associations avec des morphiniques à hautes doses agissant sur les récepteurs mu2.

Quelles sont les conséquences de la résorption osseuse ?

L’os commencera à se résorber sur le site de la dent perdue et ce phénomène se répercutera rapidement sur les dents avoisinantes. Conséquence ? En perdant de sa densité, la masse osseuse, non stimulée, ne sera plus suffisante pour retenir vos dents et elles finiront par tomber. On doit absolument freiner ce processus, car l’os s’éliminera graduellement et créera un défaut et/ou un manque de structure dans la zone extraite, créant ainsi une déficience sur le plan esthétique.

Comment remédier à cette perte osseuse ?

Une bonne solution visant à remédier à la résorption osseuse causée par la perte des dents est le recours aux implants dentaires. Les implants améliorent la densité osseuse, redonnent du tonus et stimulent les muscles de votre mâchoire tout comme le font vos dents naturelles.

Les prothèses classiques peuvent-elles jouer le rôle des vraies dents ?

Les prothèses classiques prennent appui sur les gencives et ne peuvent engendrer la reconstruction osseuse permanente prévue par la nature. Les maxillaires se résorbent et s’affaissent donc progressivement. Cette perte osseuse peut entraîner un déséquilibre qui provoque des tensions et des relâchements anormaux sur les muscles du visage et du cou. Cela explique l’apparition graduelle des douleurs faciales et cervicales.

C’est la raison pour laquelle les personnes édentées semblent vieillir plus rapidement que les autres. Leurs lèvres s’enfoncent et leur menton est projeté vers le nez à cause du manque de tonus requis pour maintenir le délicat équilibre de la morphologie faciale. Les prothèses partielles peuvent aussi entraîner des dommages ; le même phénomène de résorption osseuse survient, privant les dents environnantes de support. Le mouvement de la prothèse durant la mastication finit par affecter les dents adjacentes et peut, à la longue, causer leur perte.

Hygiène buccodentaire

Il est indispensable de bien se laver les dents avec un appareil orthodontique car celui-ci favorise la formation de la plaque dentaire, augmente les risques d’apparition de caries.

Des ta^ches disgracieuses permanentes risquent aussi de vous surprendre en fin de traitement orthodontique.

Notre équipe veillera à vous proposer régulièrement des séances de motivation à l’hygiène, et d’apprentissage de technique de brossage adaptée à votre cas.

Étape 1: Utilisez le révélateur de plaque dentaire

  • Il sert à mettre ne évidence la plaque dentaire, invisible à l’oeil nu
  • Au contact de la plaque, le produit va colorer les dents touchées par la plaque
  • Concentrez votre brossage sur cette zone avec votre dentifrice jusqu’à disparition de la coloration

Étape 2 : Utilisez la brossage à dents

  • Le brossage des dents lorsqu’on porte un appareil d’orthodontie est assez identique à celui qu’il faut identifier en temps normal.
  • Il est également possible d’employer une drosse à dents électrique.

Étape 3 : Affinez les brossettes interdentaires

  • Passez la brossette sous les fils avec précaution et nettoyez aussi bien au niveau des débris visibles que dans les interstices qui paraissent propres en apparence.
Contention

Pourquoi ?

Les dents se stabilisent dans leur nouvelle position au bout d’un certain temps qui peu être très variable

La contention est un systême destiné à maintenir les dents dans la position dans laquelle on les a mises.

Comment ?

Il existe deux systêmes de contention

  • Les contentions fixes : tout à fait visibles et qui ne sont pas gênantes pour les patients.
  • Les contentions mobiles : sous forme de gouttières.

Quelque soit le système choisi, n’oubliez pas que la phase de contention sera une étape indispensable à l’issue de votre traitement orthodontique.

Combien de temps ?

La durée est variable selon le cas.

Il est cependant nécessaire de contrôler votre contention au  cabinet  au moins une fois par an.